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Expositions - Galerie d'Art Noir et Blanc - Bastia

Expositions - Galerie d'Art Noir et Blanc - Bastia
Le Samedi 05 Janvier 2019
Rue Napoléon, 20200 Bastia, France

Du Samedi 5 Janvier 2019 au Dimanche 3 Février 2019 - Galerie Noir et Blanc - Bastia

EXPOSITIONS
EXPOSITION DE JANVIER
samedi 5 janvier au dimanche 3 février 2019

VENTE AUX ENCHÈRES SILENCIEUSE 

Du jeudi 31 janvier 10h au samedi 2 février 16h

Patrick Battini

Patrick Battini photographie les paysages de la Corse orientale, entre Bastia et Bonifacio,
les rebuts d'une industrie du bâtiment ou agricole,
des hangars désaffectés, des objets obsolètes détournés qui peuvent devenir des sculptures,
des panneaux publicitaires routiers, cimaises éphémères.
Ce sont souvent des images brutes sans fioritures qui décrivent un espace de désolation et de solitude, entre journal intime et carnet de voyage,
et qui expriment des sensations, des atmosphères en noir et blanc, à l'envers du décor...
Il expose ce mois-ci la série LONDRES

Ci-dessus, la Gay Pride de Londres.

Jocelyne Boyer

Jocelyne Boyer a été responsable d'une maison d'artisans pendant 15 ans, et, au contact des artistes, de la matière et de belles rencontres, le désir de créer est né.
Son évolution lui a permis de trouver sa voie : créer à partir du corps à l'aide de différentes matières.
Le verre comme support principal s'est imposé comme une évidence.
Elle a suivi une formation pendant plusieurs mois au CERFAV, à Vanne le Châtel, l’un des plus grands centres de formation aux Arts Verriers.

Sylvie Bracconi

Photographe de naissance, 
j’ai fait de la photographie bien avant d’avoir un appareil. 
Enfant, je regardais longuement chaque personne et tout ce qui m’entourait.
 J’ai eu mon premier boîtier à 20 ans et mes proches furent mes modèles. 
Je les photographiais tous les jours, sous tous les angles jusqu’à épuisement. 
J’ai avancé, toute seule. Je savais que je ne ferais aucune école, que mon 
meilleur outil serait mon œil et que je compterais surtout sur lui. 
J’ai toujours travaillé avec un appareil argentique. 
L’argentique ne souffre aucune comparaison avec le numérique. 

C’est tout un mécanisme métallique et mental. 
Une démarche plus lente. Le temps qu’il faut pour y mettre toute son âme. 
Plus tard est venu le dessin et puis l’écriture, surtout pour le théâtre et la 
mise en scène.
Non seulement de comédiens mais aussi d’objets, ce qu’on peut appeler scénographie.
Sylvie Bracconi
Nous présentons, pendant cette exposition, les photographies et les robes éclairées de Sylvie Bracconi.

André Casabianca

J'inscris des instants.
Je me promène avec eux sur la toile.
J'invente un pays qui pourrait être le décor principal de ma vie.
Je passe beaucoup de temps au soleil.
J'aime la longueur du temps de mon enfance.
Je peins une fois par jour le matin.
Le reste est un secret.
André Casabianca.

Lea Eouzan

Après une formation technique en photographie à Paris (1999-2001), Léa Eouzan est diplômée, en 2006, de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles (ENSP, félicitations).
Le Fotografia Festival di Roma lui propose, la même année, sa première exposition collective. Elle voit la parution d’une partie de son travail autour des lieux de mémoire dans l’édition du IVè volume de la « Storia della Shoah » chez Utet, puis plus récemment dans « Future Images » (24 Ore Motta Cultura) et « Jours d’après » (Thames and Hudson).
Sa première exposition personnelle est présentée à la galerie Le Bleu Du Ciel (Lyon), en mai 2009. Ce travail l’a conduite à réaliser un ouvrage de commande, le « Guide Historique d’Auschwitz » en janvier 2011
(éditions Autrement).
En 2012, après son retour dans l’île natale, la galerie Gour&Beneforti expose « Histoire(s) contemporaine(s) » à Bastia.
Un an plus tard, elle est la photographe retenue pour la manifestation KM1, une résidence organisée par l’Alliance Française de Manille en collaboration avec le Musée Nicéphore Niepce de Chalon-sur-Saône.
« What remains, what disappears » est l’exposition qui résulte de ce voyage, prolongement de sa réflexion autour de la muséographie des lieux de mémoire et de leur mise en spectacle.
L’exposition est présentée à Quezon City (Manila) et à Paris en janvier 2014.
En octobre 2015, une série de photographies, « Intersection », est présentée lors du Festival FotoWeek DC de Washington à la galerie Cross MacKenzie en regard au travail photographique de l’artiste américaine, Anna Beeke. Une exposition soutenue par les services culturels de l’Ambassade de France aux États-Unis qui lui propose, dans un même temps, de réaliser une commande avec les artistes « muralistes » de la ville de
Baltimore, autour du quartier de Sandtown, en partenariat avec la Fondation CrossCurrents.

Lea Eouzan mène depuis plusieurs années un travail de recherche autour des mutations du paysage insulaire corse.
Elle nous propose pour cette exposition un travail très delicat réalisé à partir de photographies anciennes.

Alexis Jannin

'La résurrection de matière morte.... Une élaboration sillonnée d'exigences, de victoires et de compromis pour aboutir à des présences qui peuvent parler à ma place.'
Les créations en bois, pierre ou métal d'Alexis Jannin trouvent leur origine, leur forme et leur puissance dans les effets des résistances que les éléments naturels, eau, air, terre produisent sur les corps.
Ses sculptures en ronde-bosse, exécutées par la technique de la taille, représentent souvent des personnages stylisés aux formes arrondies comme les galets des rivières.
Tel un photographe il saisit un instantané des mouvements, mais en volume.
Il éternise les cours instants liés aux déplacements.

Philippe Nicolaï

J'ai toujours peint des toiles ou des fresques mais sur commande, jusqu'au jour où j'ai décidé de me faire plaisir: "Paga"
Pourquoi Paga ? J'aime la pagaille aussi, mais pas seulement.
Avant mes peintures étaient quasiment toutes en noir et blanc, mais ma vie l'était aussi.
Lorsque je suis passé à la couleur, ma vie a changé aussi.
Je n'ai rien fait tout seul, on m'a tout appris.
Philippe Nicolaï

Jean-Claude Pusceddu

Peintre, acteur, sculpteur, l’artiste bastiais Jean-Claude Pusceddu est né à Casablanca en 1956 d’une mère corse et d’un père sarde.
Arrivé à Nice en 1961, il y vit jusqu’en 1978 puis s’installe à Bastia.
Pendant les années qui suivent il multiplie les supports et les techniques : sculpture et peinture sur bois, tissus, cartons, pierres. Il utilise tout ce qui lui tombe sous la main pour créer.
Après de nombreuses expositions collectives, sa première exposition individuelle a lieu au Théâtre de Bastia en 1988.
A la fin des années 80 il se concentre sur la peinture sur toile, à l’acrylique puis à l’huile.
Passionné par les anciennes photos marines, il utilise des magazines pour approfondir sa technique reflet / ombre / lumières.
Les toiles créées à cette période sont choisies pour figurer au Salon d’Automne de 1991 au Grand Palais à Paris.

Évoluant toujours à la limite du figuratif, la démarche de Jean-Claude Pusceddu est caractérisée par une prise de risque permanente.
Elle suit un rythme très personnel qui rapproche souvent un art brut plein de fraîcheur à un impressionnisme contemporain.

Dominique Ricci

« Les images, les symboles, les mythes ne sont pas des créations irresponsables de la psyché ; ils répondent à une nécessité et remplissent une fonction : mettre à nu les plus secrètes modalités de l’être »
Etudes à la faculté d’Arts Plastiques d’Aix-en-Provence. Professeur d’Arts Plastiques depuis 1985.
Mircea Eliade. Mon travail est une épopée, qui prend sa source dans le flot d’images qui traverse notre quotidien, qui se poursuit là où je creuse son lit, entre symboles éphémères d’une société sous influence et réalité individuelle.
C’est une quête dissidente d’une réalité. Par dissidente j’entends analyse réactive, interrogation, sur ce que nous voyons, ce qui nous est donné à voir ou ce que nous voulons voir et entendre.
Ce paradigme, champ perceptif, est structuré et articulé autour de fragments mémoriels issus de différentes sources, publiques ou privées : histoires, images, médias…
Associés dans une combinaison qui se joue volontiers du vrai et du faux, ils articulent une déconstruction endogène formelle et temporelle.
Cette démarche n’a qu’un seul but : l’optimisation d’un état initial, qui rejoint toutes les quêtes spirituelles réelles ou légendaires, religieuses, philosophiques de l’humanité…
Dominique Ricci

L A G A L E R I E

La Galerie Noir et Blanc regroupe une centaine d'artistes corses et vivant en Corse, et des artistes méditerranéens.

L E S G A L E R I S T E S

France-Anne Van Peteghem
Ouvrir une galerie cela n'arrive pas par hasard. Il faut avoir d'abord un œil, un certain sens de l'harmonie, et surtout l'amour des couleurs, des formes et de l'art en général. Cet amour-là je le dois à ma mère qui était une femme d'un goût exquis.
Pour le reste il faut avoir beaucoup regardé, accroché sur ses murs, collectionné.

Julie Pontaut
Un oeil elle aussi, averti, exercé et curieux de photographe, une solide expérience de graphiste, un enthousiasme doux, toujours prêt à suivre, et une amitié de toujours. Qui mieux qu'elle pouvait se joindre à cette aventure passionnante dans l'univers esthétique.

Aurelia Battini
Formée aux Beaux Arts ( Diplôme National d'Arts Plastiques) et consultante spécialiste du marché de l'art ( Drouot), Aurelia Battini vient de rejoindre notre petit groupe. Elle sera plus spécialement chargée des relations avec la clientèle.

Horaires :
10h - 12h30 14h30 - 18h00
Fermé le dimanche

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